Timbre : 2017 Invention du ciment artificiel 1817
- Mesures
- Format d'imp 34 x 26 mm
- Dents incluses 41 x 30 mm
- Forme horizontal
- Phosphore 2 barres phosphorescentes
- Impression héliogravure
- Complément xxxxx
- Couleur quadrichromie
- Valeur 1.30 €
- Dentelure 13 1/4
- Emis en feuille de 42 TP
- Quantité 900 018
- Auteurs
- Dessinateur Florence Gendre
- Graveur -
- Mise en page -
- Mentions Florence Gendre © Vicat
- Numéros & Dates
- N° Philatelix -
- N° Michel 6767
- Date d'émission 06/06/2017
- Date de retrait 31/03/2018
- Classements
-
- Groupe
- Commémoratifs et divers : 2017
- Catégorie
- Timbres poste
- Familles
- ingénieurs science et technique personnages
- Usage
- Lettre 20 g Monde
- Régions
-
Bourgogne
- Départements
-
Nièvre
- Description
- Bicentenaire de l'invention du ciment artificiel par Louis Vicat (1786 - 1861) ingénieur français, né à Nevers
Mes timbres & notes personnelles
www.wikitimbres.fr
En savoir plus sur Wikipédia : Louis Vicat
Visuel : cette invention est symbolisée par le portrait de Louis-Joseph VICAT (1786-1861), polytechnicien et ingénieur des Ponts et Chaussées (il est nommé ingénieur ordinaire à Périgueux en 1809, puis à Souillac en 1812, où il se marie (1819) et y réside durant 20 ans. Le projet ambitieux de la construction d'un pont, dit "Pont Louis Vicat", enjambant la Dordogne, à l'entrée de la ville de Souillac (Lot), le premier ouvrage au monde, construit de 1812 à 1825, avec l'utilisation de la chaux hydraulique artificielle. En arrière plan, les villes sont représentées de manière stylisée par des bâtiments qui doivent aujourd'hui conjuguer créativité architecturale, innovation technologique et
Louis-Joseph Vicat, fait ses études à l’École Polytechnique, puis à l’Ecole des Ponts-et-Chaussées et en sort ingénieur ordinaire de 2ème classe en 1809. Il est nommé en Dordogne, à la réalisation d'une route entre Périgueux (24-Dordogne) et Brive-la-Gaillarde (19-Corrèze). Par la suite, muté dans le Lot, on lui demande d'étudier la réalisation d'un ouvrage sur la Dordogne, à Souillac, à partir de 1812. Il s’agissait de construire un grand pont à 7 arches surbaissées, de 22 m d’ouverture, mais dont les fondations présentaient de grandes difficultés eu égard au niveau des crues. C’est là que Louis-Joseph Vicat commence ses observations et ses recherches sur l’étude chimique de la composition des mortiers.