Timbre : 2017 Viaduc de Garabit - Ruynes-en-Margeride
- Mesures
- Format d'imp 33 x 20 mm
- Dents incluses 38 x 24 mm
- Forme horizontal
- Phosphore 1 barre à droite
- Impression héliogravure
- Complément xxxxx
- Couleur quadrichromie
- Valeur lettre verte
- Dentelure 11
- Emis en carnet de 12 TP
- Quantité 3 700 000
- Auteurs
- Dessinateur -
- Graveur -
- Mise en page Etienne Théry
- Mentions © Bernard JAUBERT / Onlyfrance.fr
- Numéros & Dates
- N° Philatelix -
- N° Michel 6809
- Date d'émission 02/09/2017
- Date de retrait 30/09/2019
- Classements
-
- Groupe
- PONTS & VIADUCS 2017
- Catégorie
- Autoadhésifs
- Familles
- construction sciences et techniques
- Usage
- Lettre verte 20 g
- Régions
-
Auvergne-Rhône-Alpes
- Départements
-
Cantal
- Description
- Provenant du carnet de 12 TP "PONTS & VIADUCS"
Mes timbres & notes personnelles
www.wikitimbres.fr
En savoir plus sur Wikipédia : Viaduc de Garabit
Viaduc de Garabit (15-Cantal) : c'est un ouvrage d'art ferroviaire, de type viaduc (au Point Kilométrique 675) de la ligne de Béziers (34-Hérault) à Neussargues (15-Cantal, dite "ligne des Causses"), permettant le franchissement des gorges de la Truyère (affluent du Lot). Ce viaduc est un projet de l'ingénieur Léon Boyer (1851-1886), qui en a confié la finalisation et la réalisation à Gustave Eiffel (1832-1923) et sa société. La ligne est mise en service par la Compagnie des chemins de fer du Midi et du Canal latéral à la Garonne concessionnaire de la ligne. Le viaduc se situe entre les gares de Garabit (à 835 m d'altitude)
Technique : viaduc ferroviaire à voie unique, construction : 1880-1884, mis en service mai 1888 / ingénieurs : Léon Boyer (1851-1886) et Gustave Eiffel (1832-1923) / type : pont en arc / la superstructure métallique est encadrée par deux estacades d'accès Nord et Sud en maçonnerie, de 46 m et 71 m de long respectivement - Long. 565 m, portée principale : 165 m, larg. 36,6 m, ht.: 95 m au dessus du lac de retenue de la Truyère (affluent du Lot) / matériaux : fer puddlé, laminé, riveté / classé MH (sept. 1965) La ligne a été électrifiée (1931-1932) et le passage sur l'ouvrage est limité à 40km/h pour réduire les contraintes sur celui-ci.