Timbre : 2022 CROIX-ROUGE FRANÇAISE - DROIT INTERNATIONAL HUMANITAIRE

Mesures
Format d'imp -
Dents incluses 85 x 130 mm
Forme vertical
Phosphore 1 barre à droite
Impression héliogravure
Complément -
Couleur Polychrome
Valeur 5,48 € (Valeur faciale de chaque timbre : 1,16 € dont une surtaxe de 2 € reversée à la Croix- Rouge française)
Dentelure 13 1/4
Emis en bloc-feuillet de 3 TP
Quantité 280 000
Auteurs
Dessinateur Boris SÉMÉNIAKO
Graveur xxxxx
Mise en page xxxxx
Mentions création Boris Séméniako

Numéros & Dates
N° Philatelix -
N° Michel -
Date d'émission 24/10/2022
Date de retrait 31/10/2023
Classements
Groupe

CROIX-ROUGE FRANÇAISE 2022

Catégorie

Carnets ou blocs Croix-Rouge

Familles

Croix-Rouge œuvres société

Usage

Lettre verte 20 g

Régions

-

Départements

-

Description: Emission d'un bloc bloc de 3 timbres pour la Croix-Rouge française. La Poste reversera deux euros de don à la Croix-Rouge française, pour chaque bloc vendu.

Commentaire

La Poste reverse deux euros de don à la Croix-Rouge française, pour chaque bloc vendu.

Le droit international humanitaire (DIH) est un ensemble de règles qui, pour des raisons humanitaires, cherchent à limiter les effets des conflits armés. Il protège les personnes qui ne participent pas, ou ne participent plus, directement ou activement aux hostilités, et restreint le choix des moyens et méthodes de guerre. Le DIH est également appelé "droit de la guerre" ou "droit des conflits armés". C'est une partie du droit international public, lequel est essentiellement constitué de traités, du droit international coutumier et des principes généraux de droit (voir l'art. 38 du Statut de la Cour internationale de Justice).

Il convient de faire une distinction entre le DIH, qui réglemente la conduite des parties à un conflit armé (jus in bello), et les principes du droit international public énoncés dans la Charte des Nations Unies qui déterminent si un État peut légitimement recourir à la force armée contre un autre État (jus ad bellum). La Charte prohibe un tel emploi de la force, à deux exceptions près : en cas de légitime défense contre une attaque armée, et lorsque l'emploi de la force armée est autorisé par le Conseil de sécurité des Nations Unies. Le DIH ne stipule pas si le début d'un conflit armé était légitime ou non, mais cherche plutôt à réglementer le comportement des parties une fois qu'il a commencé.

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