Description | Série annuelle "Cœur" : cette année, émission de deux timbres emblématiques, le "Cœur Ispahan" et le "Cœur Macaron". |
Commentaire | En savoir plus sur Wikipédia : Pierre Hermé Il y a des noms qui résonnent comme des parfums. Pierre Hermé en fait partie. Dès qu’on l’évoque, l’esprit est saisi d’images douces et puissantes, de ganaches lisses, de biscuits moelleux, de mariages osés entre l’oriental et le classique. Pour un philatéliste comme moi, ce nom évoque autre chose encore : l’épreuve délicieuse de capturer l’éphémère. Car un timbre, comme une pâtisserie d’exception, ne se contente pas de séduire l’œil — il raconte un monde, il parle d’un savoir-faire, d’une époque, d’un goût. Je me souviens de l’émission philatélique célébrant les grands noms de la gastronomie. Le timbre consacré à Pierre Hermé m’a tout de suite fasciné. Ce n’était pas une simple reproduction de macaron. Non, c’était une ode à la création, à l’audace, à cette part de rêve que certains savent enfouir dans une bouchée. Les couleurs étaient fines, presque parfumées, et j’aurais juré sentir la rose ou la pistache. Philatéliquement parlant, c’est un sujet rare, mais essentiel. Parce qu’il unit les sens et les cultures, parce qu’il élève la pâtisserie au rang d’art, et le timbre au rang de mémoire gustative. ©WikiTimbres |
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